Les parallaxes



Parallaxe d’une étoile proche devant des étoiles lointaines, à six mois d’intervalle. Animation Observatoire de Paris, Florence Durret, crédit ASM in media4.obspm.fr


Dessins pédagogiques du célèbre physicien George Gamow*.

Avec un seul œil, on a déjà de la profondeur de champ.

Avec les deux yeux on a un effet de relief …si on arrive à loucher… comme ici.


Gamow Georges, 1955, Lune, escale vers l’infini, collection Science Jeunesse, édition Plon.

Gamow Georges, 1962, La gravitation, de la pomme de Newton aux fusées interplanétaires, édition Petite Bibliothèque Payot.

Télémètre de marine permettant de viser des cibles à plus d’une dizaine de kilomètres. Les deux objectifs, ici marqués en couleur rouge, ont plus de deux mètres de focale sur les cuirassés ; ces doublets achromatiques corrigés de l’astigmatisme sont de qualité astronomique.



Sur de dessin de George Gamow, la Lune, vue de New York et de Washington, apparaît légèrement décalée par rapport aux étoiles.

… et Hipparque ! cloué à Alexandrie ! sans téléphone portable ni correspondant pour effectuer simultanément une photo de la Lune entourée d’étoiles !

Si l’on profite du déplacement de la Terre à 6 mois d’intervalle (une «base» de 300 millions de kilomètres ) on peut même mesurer la distance des étoiles proches. Une méthode imaginée par Bessel au XIXe pour mesurer la distance d’une étoile, pour la première fois, et aujourd’hui utilisée par le satellite Hipparcos.



Le satellite Hipparcos dont le succès et la longue vie ont permis une avancée considérable dans la mesure des mouvements propres et des distances des étoiles.

En souvenir de l’astronome Hipparque, le plus grand astronome de l’Antiquité grecque, et l’auteur du premier catalogue d’étoiles.